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Nos chers mots français, quand ils sont devenus vieux, la Fortune les écrase de sa roue impitoyable ; et ils vont mourir au fond d’une bibliothèque dans les plis d’un bouquin délaissé.
Augusta Amiel-Lapeyre (Pensées sauvages – 2e série, p.53, Desclée de Brouwer, 1930)
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Les photos ont été prises le 7 juin 2010 au Vieux-Port de Montréal
Prendre un livre et s’y plonger, une minute, une heure, une journée ou une vie. A l’ombre d’un arbre séculaire, dans les transports en commun ou sur une plage, la lecture nous accompagne toute notre vie. (Anonyme) C’est ce qui est merveilleux, il y en a pour tous les genres! Bise et bonne soirée!
ils peuvent même y entrer jeunes dans les bouquins nos chers mots français
Il ne faisait pas bien chaud ce jour-là de juin 2010. La lecture ne serait-elle qu’une histoire de femmes ? 😉
Bravo Pierre pour vos belles photos. Et oui! Lorsque l’on est dans un passage d’un livre passionnant, il est difficile d’en sortir.
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La lecture c’est une grande histoire de famille, en été on peut nous voir chacune (est-ce une histoire de femmes ? on peut se poser la question…) un livre à la main, à lézarder au bord de la piscine .
Je trouve rassurant en tout cas de voir encore des gens qui lisent autre chose que ces maudites tablettes ou pire le téléphone portable à tout faire !
Faut-il résumer à « prendre son temps » toute la nuit ?!
Oups ! c’était pour le billet suivant ^^!!!
Mais je vois que dans celui-ci aussi… on peut prendre son temps 😉