Trois gros évènements pour poursuivre notre chemin vers le renouveau… Bise et bonne soirée toute douce!
Oui et non Pierre…
Bien sûr il y a différents âges dans la vie, à tel point que nous allons jusqu’à parler de « la force de l’âge ».
Mais là non plus je ne crois pas aux frontières : du début à la fin du chemin, vie et mort marchent main dans la main, se suivant comme des ombres imbriquées l’une dans l’autre; parce que vivre, c’est aussi risquer de mourir, à tout âge la vie demeure infiniment précieuse.
Et même le dernier âge est rempli de lumière: peut-être y a-t-il moins d’ éxubérance (encore que cela reste à prouver), mais il y a cette incomparable sagesse accumulée tout au long de la vie qui nous rappelle que vivre est aussi cette folie à laquelle il faut consentir à chaque instant, jusqu’au bout du chemin.
Et c’est ainsi que le dernier âge n’est jamais véritablement le dernier….
Mathématiquement, je pense être à la moitié de ma vie, si j’augure bien de ce rallongement que médecine et « qualité de vie » nous promettent. Et donc, si je veux profiter de ces 60 prochaines années, il faut que dès à présent, on me laisse profiter de la libre improvisation du temps… Ah moi le temps de la retraite. J’ai tant et tant de choses dans la tête à faire, mon corps conserve encore quelques capacités à jouir de la vie. Mais le stress quotidien, en attendant ce temps si souhaité, parviendra bien à réduire ce temps à vivre restant.
beaux symboles pour un résumé implacable
Trois gros évènements pour poursuivre notre chemin vers le renouveau… Bise et bonne soirée toute douce!
Oui et non Pierre…
Bien sûr il y a différents âges dans la vie, à tel point que nous allons jusqu’à parler de « la force de l’âge ».
Mais là non plus je ne crois pas aux frontières : du début à la fin du chemin, vie et mort marchent main dans la main, se suivant comme des ombres imbriquées l’une dans l’autre; parce que vivre, c’est aussi risquer de mourir, à tout âge la vie demeure infiniment précieuse.
Et même le dernier âge est rempli de lumière: peut-être y a-t-il moins d’ éxubérance (encore que cela reste à prouver), mais il y a cette incomparable sagesse accumulée tout au long de la vie qui nous rappelle que vivre est aussi cette folie à laquelle il faut consentir à chaque instant, jusqu’au bout du chemin.
Et c’est ainsi que le dernier âge n’est jamais véritablement le dernier….
Mathématiquement, je pense être à la moitié de ma vie, si j’augure bien de ce rallongement que médecine et « qualité de vie » nous promettent. Et donc, si je veux profiter de ces 60 prochaines années, il faut que dès à présent, on me laisse profiter de la libre improvisation du temps… Ah moi le temps de la retraite. J’ai tant et tant de choses dans la tête à faire, mon corps conserve encore quelques capacités à jouir de la vie. Mais le stress quotidien, en attendant ce temps si souhaité, parviendra bien à réduire ce temps à vivre restant.
Pingback: Bloguer ou ne pas bloguer » Histoire et mystère